Au terme du plus récent concours des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), 10 projets, menés par 13 chercheurs du Centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval se sont vu accorder des subventions, pour un total de près de 8 millions de dollars.
Ces investissements permettront à nos chercheurs ainsi qu’à leurs équipes de poursuivre leurs travaux, contribuant certainement à ce que notre centre conserve sa position de plus important centre de recherche francophone en Amérique du Nord.
Les chercheurs qui se sont vu attribuer une subvention sont les suivants :
- Étienne Audet-Walsh, pour le projet Understanding mitochondrial metabolism to identify prostate cancer metabolic vulnerabilities
- Sylvie Breton, pour le projet Intercellular communication networks and luminal acidification in the post-testicular male reproductive tract
- Frédéric Calon, pour le projet FGF-21 in Alzheimer’s disease
- Jacques Côté, pour le projet Functional analysis of the NuA4/TIP60 complex in epigenetic mechanisms linked to genome expression and stability
- Célia Matte-Gagné, pour le projet Les conduites paternelles et la transmission intergénérationnelle des problèmes de santé mentale : une étude de cohorte père-mère-enfant débutant à la période prénatale
- Véronique Moulin, pour le projet The implication of PlGF in cutaneous fibrosis
- Donald Poirier, pour le projet Aminosteroid derivatives as a new class of cholesterol homeostasis disruptors for selective treatment of pancreatic cancer: Mechanistic and translational studies
- Lisa Topolnik, pour le projet Global signals in dendrites of GABAergic inhibitory interneurons: mechanisms and function
- Marie-Claude Tremblay et Christopher Fletcher, pour le projet Addressing stigmatization of Indigenous patients: Co-developing structural and educational strategies through a nuanced understanding of cultural risk in the Quebec healthcare system
- Xavier Trudel, Mahée Gilbert-Ouimet et Denis Talbot, pour le projet Prévenir l’hypertension, le diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires en ciblant les stresseurs psychosociaux au travail, les longues heures de travail et les mauvaises habitudes de vie : Des fractions attribuables à la simulation d’interventions dans une cohorte de 9,188 hommes et femmes suivis 24 ans